Les premiers mois de la révolution au village (suite)
27/11/2011 18:26 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Les premiers mois de la révolution au village
3- Le match de football Taourirt Mimoun-Ait-ali Ouharzoune
Avril 1955. Jour J. Je dédie cet article à la mémoire de certains de nos joueurs aujourd'hui disparus : Said At Moussa, Mouloud At Kaci, Mahmoud At Tsafat, Youcef Amokrane, Boussaad Oucherif, Mohamed At El Mokhtar ... QREP, on ne les oubliera jamais. Le départ s'effectua dans la joie avec la ferme volonté de gagner (tout le long du trajet nous n'avions pas arrêté de chanter : " c'est At Ali qui gagne, qui gagne …c'est At Ali qui gagnera "). Des voitures , à l'époque, il n'y avait pas beaucoup, trois ou quatre pas plus, mais qu'à cela ne tienne, six ou sept kilomètres à pied, et de surcroit par un après-midi printanier, ne constituaient pas vraiment un obstacle pour nos supporters ... Supporters ou curieux, ils était venus d'un peu partout, des villages avoisinants et même des Ouacifs car, quoi qu'on dise aujourd'hui, ce "match" constituait un événement , une " première " dans la région où nombre de personnes n'avaient jamais assisté auparavant à une rencontre sportive , en dehors peut-être des lointaines joutes de "tiqqar" (arts martiaux berbères). Notre entrée au stade fut saluée par des cris d'encouragement lancés par nos supporters, assis ou debout tout autour de cette aire de jeux en terre battue parfaitement praticable. Nous n'avions pas de tenues homogènes comme on pourrait l'imaginer aujourd'hui, mais seulement des shorts et des maillots de différentes couleurs … Le match fut très disputé et dans l’ensemble il se déroula dans un fair -play et une correction exemplaires même si, vers la fin de la rencontre, deux ou trois joueurs de l’équipe de Taourirt Mimoun , menée à domicile sur le score de 3 buts à 1 , usèrent d’un jeu un peu dur dans l’espoir de revenir à la marque mais c’était sans compter sur notre rempart défensif et la classe de notre grand gardien, Said At Moussa . On s’apprêtait à rentrer au village tout auréolé de cette belle victoire lorsque le docteur Mameri nous barra carrément la route … pour nous conduire , dirigeants et joueurs vers le foyer rural de taourirt Mimoun pour une collation et surtout pour nous donner , par ce geste, une belle leçon de sportivité.
Qanun At Ali U Herzun
21/11/2011 18:53 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Qanun At Ali U Herzun
[ 18/11/2011 15:47 ] Message de Oubaya Samir
Bonjour, Je viens tout juste de tomber sur un vieux document exceptionnel qu'est un texte mettant en relief une législation propre à votre ancien village qu'est Ait-Ali-Ouharzoune. Je serais très honoré de vous le transmettre dès que j’aurais votre e-mail. Aussi, faudrait-il vous informer que je suis natif du village de Zaknoun , juste en face du votre, et que ma grand-mère maternelle, la regrettée Ait-Slimane Ferroudja , fille de Ismail , est originaire de votre village. Salutations fraternelles
[ 18/11/2011 15:47 ] Message de Hamid
Bonjour Samir et merci pour ta visite ... Merci encore pour ton offre de collaborer à l'enrichissement de notre histoire régionale et tes documents seront les bienvenus . Je connais un peu ton village qui « fait face « au notre .Je ne t’apprendrais , sans doute , rien en te disant qu'entre nos familles il y a eu de multiples alliances ...Ta grand-mère , qrep , Ferroudja At Slimane ( au village on dit Ferroudja At Lounis ) est issue d'une grande famille de chez nous . Si tu n’y vois aucun inconvénient , autorise moi à publier ton message pour voir les réactions de nos visiteurs ... Salut .
[ 21/11/2011 15:47 ] Message de Oubaya Samir
Je tiens à remercier Hamid pour avoir si gentiment accordé attention à mon message, et serais honoré de voir mes propos publiés sur son blog qui est une initiative d’un intérêt culturel noble et nécessaire à la sauvegarde d’une partie de notre mémoire collective, cette mémoire dont le support oral est hélas en plein effritement, ce qui devrait nous encourager , dans l’urgence , à entamer un travail de collecte de données ,même à l’état brut , comme le faisait d’ailleurs au départ feu Mouloud-Mammeri, car à chaque fois que disparait l’un de nos ainés c’est une mine d’informations et une bibliothèque que nous perdons ,malheureusement à jamais.
Aussi, devrait-on, les uns et les autres, faire de notre mieux pour demander aux autorités françaises de nous dévoiler le contenu de nos archives historiques séquestrées à Aix-en-Provence , sachant que les fonds d’archives français renferment énormément de manuscrits berbères, de Kabylie et d’ailleurs , transcrits en caractères arabes, comme c’est le cas pour le document que je joins au présent message, documents en majorité pris par l’occupant français durant la révolution d’El-Mokrani et le pillage de milliers de mausolées et confréries maraboutiques éparpillés en Afrique du Nord, notamment en Kabylie.
Les premiers mois de la révolution au village ( suite)
11/11/2011 17:51 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Les premiers mois de la révolution au village ( suite)
2 – Un match revanche de football
Avril 1955, cinq mois après le 1 er novembre 1954, nos lycéens et collégiens sont de retour au village pour les vacances de Pâques (de printemps). Temps magnifique, campagne verdoyante, paysages fascinants …. et ambiance extraordinaire.
Si à Taourirt Mimoun ( Beni yenni) , grâce au docteur Driss Mammeri , les jeunes avaient , dès la fin des années 1940 , une maison à eux , un foyer rural , chez nous au village d’ At Ali Ouharzoune Dda Ahmed Hazi , le directeur de l’école primaire, mettait à notre disposition, pendant les vacances scolaires, une salle de classe et la cour de l’école vite transformées en espaces culturel et sportif ( on avait même une table de ping-pong ) . Diverses activités y étaient organisées : cours de vacances avec échange de livres et de romans, tournois de ping-pong, randonnées pédestres à travers le Djurdjura et, évidemment des matchs « interminables » de football au virage de Laaziq … , le tout dans un esprit convivial où l’humour n’était pas absent surtout lorsque chacun d’entre nous racontait , bien sûr en les enjolivant un peu , les évènements et anecdotes vécus au lycée ou au collège …
Voilà donc rapidement résumée l’ambiance qui prévalait avant le match revanche de football que nous allions disputer contre les jeunes de Taourirt Mimoun encadrés par le docteur Mammeri et son auxiliaire médical, Si Hacène.
Liste des joueurs complétée par Mahmoud Hazi de Bouira :
1 – Joueurs qui ont participé au match :
1-1 Amokrane Youcef
1-2 Hazi Mahmoud
1-3 Ait Moussa Said
1-4 Ait Younes Hamid ( Mnamni)
1-5 Ait Kaci Mouloud (Loulou)
1-6 Ait Kaki Mahmoud ( Hamoudi At Tsafat)
1-7 Ben Moussa Madjid ( Djadji)
1-8 Ait Kaki Hamid
1-9 Lakehal Rachid
………….
2- Joueurs probables
2-1 Ait Kaki Abderahmane ( Hanina)
2-2 Oucherif Boussaad 2-3 Ait Abdelkader Ahmed ( Hmidouche) 2-4 Ait Mokhtar Mohamed ( Mohaitou) ………….. Remarque : Mille excuses à ceux qu’on aurait involontairement oubliés à suivre
Nna Smina At Amer
08/11/2011 16:40 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Nna Smina At Amer
Vendredi 4 novembre 2011 , à 15 heures , s'est éteinte , à Sédrata , Nna Smina At Amer, l'épouse de mon oncle Hadj Bouzid At Kaki, à l'âge de 85 ans. Allah Yarhamha. Hamid
Laid n wen 2011 Tassadit
06/11/2011 19:15 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Laid n wen 2011 Tassadit
A vous et à tous ceux qui vous sont chers, mon beau mouton et moi vous souhaitons :
AID MABROUK, BONHEUR ET SANTE... Rachid
Hadja Saadia Kardache
18/10/2011 13:48 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Hadja Saadia Kardache
Par Ahcène Kardache
Saadia Kardache ( 1899-1969), épouse Ahcène Kardache, fille de Mohand Said Kardache et de Fetta At Belkacem
Je profite de ce mois d’octobre pour évoquer la mémoire de ma grand-mère Saadia (Yemma DADI) que j’ai perdue le 15/10/1969 , il y a maintenant 42 ans, lors d’un accident de voiture. Elle est morte à mes cotés et c’était moi qui conduisais. C’était une femme EXCEPTIONNELLE. Jeune , elle était si belle qu’on disait d’elle : « adhi chettah fellas ouarous « ( l’escargot danserait pour elle ,une expression voulant dire qu’elle était très charmante ). Elégante , respectée et respectable…,.son hygiène et son mode de vie étaient proverbiales . Sage et écoutée , autoritaire mais juste et affectueuse. elle s’imposait même auprès des hommes importants du quartier n’at S’rour … , ses conseils étaient sollicités et appréciés ..Elle rendait volontiers ( et de bon cœur ) service et encore davantage à ses cousins ,orphelins de père très jeunes.
A la mort de son fils unique , mon père Ali Oulhadj ,en 1956, , elle s’était occupée de sa maisonnée et des procédures administratives de succession à Tebessa ,alors qu’elle ne parlait que le Kabyle . DdA Mamou Kardache l’a beaucoup aidée ( comme je l’ai déjà écrit dans des commentaires sur ce blog ) . Elle se faisait accompagner d’un parent , comme interprète ,pour régler les problèmes qui se présentaient à elle . Personnellement je ne m’occupais que de mes études, tout le reste c’était elle qui s’en chargeait. Elle a marié ma deuxième sœur et lui a même acheté un appartement à la cité « Kalitous « à Alger. C’était elle qui décida de venir à CONSTANTINE pour me permettre de poursuivre mes études et de nous rapprocher , en même temps , de ma sœur ainée qui y habitait . Elle nous a acheté un appartement en plein centre ville où mes fils sont nés. Elle a fait deux pèlerinages à la Mecque alors qu’elle ne connaissait pas l’arabe…
J’étais tout jeune étudiant en médecine lorsque survint sa mort tragique , en 1969 ,dans la voiture que je conduisais . Accident qui , évidemment, m’a fortement traumatisé avec une dépression qui a duré plusieurs mois….Une page est sûrement trop courte pour tout écrire sur la vie de cette femme de cœur et de courage . Elle a été ma grand-mère et en même temps un père, un rôle que peu d’hommes peuvent tenir avec autant d’abnégation ,de sacrifices et de bonheur … Repose en paix Yemma Dadi , à coté de tous nos chers disparus .Tu es et seras toujours dans nos cœurs..
LE PETIT PELERINAGE DE AMRANE
12/10/2011 20:32 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
LE PETIT PELERINAGE DE AMRANE (suite)
par Amrane
Le 27 septembre 2011 au matin , direction Médine à bord d’un bus climatisé et confortable. (Sur le billet est indiqué l’heure probable d’arrivée, soit 15 heures 10.) Apres la ville, un paysage désertique, fait d’immenses étendues de sable et puis de montagnes et de rochers noirs de toutes dimensions, …on se croirait dans une zone volcanique. De temps à autre on aperçoit un troupeau de chameaux ou d’ovins en train de « paître » tranquillement. Que broutent- ils ? Apparemment il n’y a aucune végétation si ce n’est quelques enclos avec des stocks de foin.
Aujourd’hui, la circulation est très fluide…, seuls quelques camions, chargés de marchandises, donnent un semblant d’animation à cette magnifique autoroute … Une halte pour déjeuner et pour accomplir la prière du dohr et nous voilà repartis ...
Après un contrôle de police à quelques kilomètres de la ville, nous apercevons MEDINE, construite sur un terrain plat avec, en arrière plan, une montagne.. .. Arrivée à l’hôtel à 15 heures 45 ... Tout de suite après, une première visite à Al Haram Ennabaoui Echarif (la grande mosquée de Médine) pour la prière du Maghreb en compagnie d’un nombre incroyable, extraordinaire même , de pèlerins venus des quatre coins du monde ... Al Harem Ennabaoui Echarif est un monument impressionnant, une véritable « touhfa » avec ses hauts minarets qui dominent la ville ..., la mosquée, toute de marbre blanc et d’une extrême beauté , est entourée d’une immense place sur laquelle les fidèles viennent prier également … Plusieurs portes permettent l’accès à un intérieur, tout simplement éblouissant, avec des espaces réservés exclusivement aux femmes…
La mosquée " originelle " du prophète QSDSL peut être localisée ,de l’extérieur, par son dôme de couleur verte … Située au bout d’une sorte de couloir qui commence à partir de Bab Essalem, rawdha Ennabaouia est un lieu sacré , avec ses tapis verts … où tous les pélerins tentent d’accéder pour y prier , au moins une fois... La tombe de Sidna Mohamed, QSDSL, et celles de deux de ses compagnons Abu Bakr Essedik et Omar Ibnu Al Khateb, (radhia Allah Aalihouma), sont situées juste après la rawdha … Nous avons aussi rendu visite au masdjed Quba, à l’entrée de la ville…
MEDINE est une ville où se côtoient ,aujourd'hui ,des bâtisses anciennes, des immeubles modernes et imposants, principalement des hôtels de luxe, mais aussi de somptueuses villas, sorties tout droit des contes des mille et une nuits.
Médine a tous les aspects d'une ville moderne, …, les gens sont très accueillants …. Malheureusement au bout de deux jours et à regrets nous rejoignons Dammam, ville où nous passons quelques jours de vacances en attendant, INCHAALLAH de retourner à la Mecque afin d’ effectuer le grand pèlerinage.. Bonjour à toute la famille et à tous nos amis du blog. A bientôt.
LE PETIT PELERINAGE DE AMRANE
10/10/2011 17:09 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
LE PETIT PELERINAGE DE AMRANE
par Amrane
Arrivés le 24 septembre aux environs de 18.heures à Djeddah , notre attention est vite attirée par la grandeur de l’ aéroport et l’hygiène qui y règne malgré le nombre important de passagers qui y transite . A l’extérieur il fait tellement chaud. qu’on a du mal à respirer,. Avant de prendre un taxi, j’ai du négocier car d’un taxi à un autre les prix diffèrent et ... de beaucoup.. Nous avons pris la route, pour la Mecque, aux environs de 19 heures. Djeddah est immense. Il nous a fallu plus d’une trentaine de minutes pour en sortir. J’ai eu l’impression que la ville venait de se réveiller. Inimaginable le nombre de véhicules sur la route et ça roule vite . Aucun encombrement. Sur notre chemin, vers la sortie de la ville, le long des avenues , d’imposants bâtiments sont réservés aux commerces, avec leurs lumières et panneaux publicitaires... C’est vraiment très beau ! A quelques 20 km de la Mecque ,un grand panneau, sur l’autoroute, indique la proximité des lieux saints de l’Islam et l’interdiction faite aux non musulmans de s’y rendre…. Rapidement nos regards sont captés par une horloge hors norme (BIG BEN) érigée sur le sommet d’un gratte ciel et à mesure que nous avançons dans la ville, nous apercevons les minarets du masdjed el haram où nous nous rendons, mon épouse et moi, .après avoir réservé une chambre d’hôtel. Grandiose ensemble architectural avec ses minarets de plusieurs dizaines mètres, ses murs revêtus de marbre naturel noir, gris et blanc. Des coupoles "calligraphiées" avec des versets coraniques… Personnellement je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi grandiose et d’aussi beau. Le rituel de l’omra nous a pris environ 3 heures. En ce moment , il n y a pas foule, donc pas de bousculades. Autour de la mosquée, il y a de nombreux chantiers. Il s’agit de l’extension du Haram et de la construction d’hôtels de haut standing. Par ailleurs la vie à la Mecque est normale. Ses habitants, en dehors des horaires des prières, vaquent à leurs différentes occupations commerciales, administratives comme partout ailleurs. Il fait tellement chaud qu'il n y a pas beaucoup de monde dans les rues. Les saoudiens, on les voit surtout la nuit et dans les grands supermarchés. Durant la journée, pratiquement, on ne rencontre que des pèlerins de toutes nationalités. Actuellement il y a beaucoup d'Asiatiques . A bientôt pour la suite du voyage à Médine.
Dda Ahcène Kardache
18/09/2011 15:49 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Dda Ahcène Kardache
Ahcène Kardache (1896 - 1944)
Par Ahcène Kardache
Que dire de mon grand-père Ahcène que je n’ai malheureusement pas connu et dont je porte le prénom, comme le veut la tradition ? Ce que je sais de lui est qu’il fut, tour à tour, armurier, commerçant, adjudicateur de marchés…… dans plusieurs villes et villages de l’est du pays comme Morsott, Tébessa, et, probablement, dans d’autres localités ... Medjez-sfa, dans la wilaya de Guelma étant le dernier village où il s’était installé définitivement et où d’ailleurs, il est enterré. On dit de lui qu’il fut dynamique, affable, très serviable…… C’était lui qui a construit notre nouvelle maison au village d’At Ali Ouharzoune .
Une anecdote se rapportant à son décès : mon père, Ali -Oulhadj, fut chargé de la lourde mission d’annoncer à la famille, au village, la terrible nouvelle de la mort de son père Ahcène (en 1944 à Medjez-Sfa). A son arrivée au pays personne n’était au courant de cette triste réalité. … et alors ? …, le meilleur moyen trouvé par mon père , afin , lui semblait –t -il , d’atténuer le choc que provoquerait l’annonce du décès, … était de raconter, sans arrêt, tout le mal et les misères que son père lui aurait fait subir….., à tel point que Yemma Dadi (Saadia), ma grand-mère, tellement bouleversée et stupéfaite par tant de cruautés de la part de son mari à l’égard de son fils unique … qu’elle souhaita la mort à son conjoint … Et ce fut justement le moment que mon père choisit pour annoncer, en pleurs , la douloureuse nouvelle qui déclencha instantanément des cris et des pleurs ….
Il y a deux ans, au cimetière de Medjez-Sfa, mon dernier fils Amir, en se recueillant sur La tombe de son arrière grand-père Ahcène dit avoir senti une présence à ses cotés en récitant la Fatiha, ce qui lui a donné des frissons …. Dernièrement lors de mon court séjour au village, la veuve de Dda Mamou Kardache m’a raconté que, lors de la première affectation de son mari à Medjez-Sfa mes ascendants l’ont beaucoup aidé dans son installation. Qu’ils reposent tous en paix ! En tout cas c’est pour moi un honneur d’être de sa descendance et de porter son prénom que j’espère avoir mérité.
Dda Idir At Kaki
18/09/2011 15:44 par aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
Dda Idir At Kaki (1896-1982)